Les cahiers de l’UniqueN°1


SERVIN


Contribution à l’étude de la collection de cruches fêlées du Musée Henri de Toulouse Lautrec d’Albi


           Ce texte démontre, à travers une expérience personnelle traité sous forme de performence, le mépris des institutions et des élus envers les artistes et comment, ce faisant, la France se couvre de ridicule.

         Après un parcours sans faute à Paris dans les années 80 ou je m’étais imposé comme un artiste important de l’art alternatif (non officiel) j’ai commis l’erreur de installer dans le Tarn en Languedoc ou toutes les portes de l’institution artistique m’ont été claquées au nez et ou je me suis  heurté à l’incommensurable imbécilité des  élus ruraux (des ploucs).

            Partant du principe que si les Impressionnistes ont dû leur notoriété à l’attitude de  mépris de l’institution artistique de leur époque à leur égard,  j’ai décidé de mettre en évidence ce mépris à mon égard.

             A partir d’un démêlé avec une grande banque J’ai interpellé systématiquement toute l’institution et j’ai gardé les preuves des refus.

            Ce cahier, longue « performence » d’art postal, rend compte de mes démêlés avec le Musée du Grand Henri de Toulouse Lautrec.

            Toutes les institutions sont ridiculisées : Conseil Général, deux banques, ministères de la Culture et de l’Education Nationale, etc… et évidement les responsables  du Musée du Grand Henri de Toulouse Lautrec.

            Ce cahier de 48 pages au format A4 reproduit mes lettres en fax simili accompagnés de commentaires sur les réponses.

           

Prix 15 euros port inclus vers France et UE.